"55% des salariés interrogés admettent avoir caché leurs symptômes de burn-out par crainte de représailles".

Je ne sais pas quel effet ça vous fait, mais moi, ce chiffre me glace.

On parle de plus en plus du burn-out. Et c’est tout à fait justifié.

Car plus on en parle, plus on regarde la réalité en face.

Et franchement, il est temps.

Parce que non, on n’en parle pas trop.

On en parle parce que le burn-out a explosé.

Quelques chiffres récents* :

. 34 % des salariés français (2,5 millions) en situation d'épuisement ou à risque en 2024

. 7 % en burn-out sévère

. 35% des femmes salariées ont fait un burn-out à cause du travail au cours des 5 dernières années

C’est un effondrement massif, normalisé, banalisé, ignoré.

Et je ne mentionne "que" le burn-out, pas la détresse psychologique (45% des salariés dont 13% en détresse élevée).

Le burn-out explose.

Et on ose encore parler de fragilité personnelle !

Les vraies causes sont systémiques :

▪ Des systèmes de performance qui écrasent et épuisent,

▪ Des cultures managériales qui autorisent et ferment les yeux,

▪ Et des individus qui paient l’addition.

Alors :

Quand est-ce qu’on se réveille et qu’on arrête le carnage ?

(*Sources : Association France Burnout, GHU Paris, Empreinte Humaine)

PS : je publie cet article sur LinkedIn à 9h aujourd'hui.

PPS : tu te souviens que l'offre de lancement sur la gamme PHENIX AMAZONE se termine le 30 septembre, ce soir à minuit ? A voir ici.

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